L’éco anxiété

Un excellent article qui fait le point sur ce phénomène qui touche majoritairement les classes sociales supérieures et éduquées. Lire ICI

« … certains praticiens proposent de rejoindre une ONG ou une association, pour faire de la sensibilisation, aider le public à ouvrir les yeux sur des problématiques sociales et écologiques, travailler à l’émergence d’alternatives. En somme, d’agir afin de retrouver un peu d’emprise sur notre destin, pour ne plus se sentir totalement impuissant…. »
La réalisation de ce site doit donc être une forme d’apaisement

Voir aussi ICI

émission de France inter sur le sujet

René Dumont

En 1974, j’ai 14 ans et je suis avec intérêt la campagne électorale… J’avais été particulièrement intéressé par le discours de cet homme étrange (à l’époque).
A la suite de cet article, des vidéos de la campagne électorale ou d’émissions.
Maj 24/08/21

Réécouter, René Dumont fait prendre conscience du retard pris, puisque tout ce qu’il disait est en train de se passer. Il ne faut pas être visionnaire trop tôt, ni proposer des idées trop dérangeantes.
L’animateur de cette rediffusion cet été d’une émission radiophonique du 26 novembre 2018  le dit autrement en citant la célèbre phrase: « On a toujours tort d’avoir raison trop tôt » assumée par René Dumont lui même.
« Candidat iconoclaste et farfelu, le professeur Dumont prône un changement radical de société. Ses marottes : l’abandon de l’automobile, la désurbanisation, et la limitation des naissances. Sans quoi prophétise-t-il le monde court à sa perte. Résultat : 1,3 pour cent des sondages, autrement dit rien…Parce que rené Dumont est un trouble-fête, un Cassandre qui empêche les Français de consommer en rond. Or, on sait aujourd’hui à quel point se prédictions étaient justes. René Dumont le sait mieux que personne: on a toujours tord d’avoir raison trop tôt. « 

Continuer la lecture de « René Dumont »

Le rapport du Giec du 8 août

« il reste à peine vingt ans pour limiter le pire »
Le précédent datait de 2013. Aucune amélioration: lire cet article

« Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été créé en 1988 en vue de fournir des évaluations détaillées de l’état des connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques sur les changements climatiques, leurs causes, leurs répercussions potentielles et les stratégies de parade. » Voir la suite

Rapport du Giec : visualisez le dérèglement du climat depuis 30 ans en cinq infographies

Le jour du dépassement

« Le jour du dépassement, ou jour du dépassement de la Terre (en anglais : Earth Overshoot Day ou EOD) correspond à la date de l’année, calculée par l’ONG américaine Global Footprint Network, à partir de laquelle l’humanité est supposée avoir consommé l’ensemble des ressources que la planète est capable de régénérer en un an. Passée cette date, l’humanité puiserait donc de manière irréversible dans les réserves « non renouvelables » (à échelle de temps humaine) de la Terre.
(Source https://fr.wikipedia.org/wiki/Jour_du_d%C3%A9passement)

Lire aussi ICI ou

Ils l’avaient prédit mais personne n’en fait rien…

Le Parisien dans cet article nous rappelle ceux qui avaient mis en garde contre une pandémie mondiale. Le fait est qu’on a sûrement de bonnes raisons de ne pas plus écouter un Bill Gates, un Jacques Attali, qu’un René Dumont ou un Haroun Tazieff... Et pourtant ils nous avaient averti, et nous n’avons rien prévu ou changé.

Le magazine Usbeck & Rica nous rappelle donc que Bill Gates en parlait déjà en 2015.
Et dans cet article  qui date du 17 mars, autant dire une éternité à l’échelle de cette première période inédite de confinement, on peut lire à la fin:

Continuer la lecture de « Ils l’avaient prédit mais personne n’en fait rien… »

Quand Haroun Tazieff prédisait les conséquences du réchauffement climatique en 1979!

Le journal Sud-ouest a la bonne idée de faire des cahiers spéciaux appelés « La mer notre avenir »
Après le premier numéro de septembre (ICI)  voilà un nouveau numéro (ICI)  ou l’on découvre un article « En 1979, Haroun Tazieff prédit la montée des eaux » .Voir la vidéo dont il est question dans cet article (ICI)

C’est assez saisissant et effrayant de voir à quel point les climato-sceptiques nous ont fait perdre un précieux temps. Tout ce qui était annoncé par  Dumont   et des hurluberlus (considérés comme tels) comme Haroun Tazieff  est en train de se passer de manière plus rapide que prévue.
Et quand j’écris par ailleurs que la jeunesse n’est pas gage d’une meilleure expertise, il suffit de comparer les prises de position respectives sur le réchauffement climatique de deux scientifiques français (Tazieff et Allègre né 23 ans après lui) qui se sont d’ailleurs plus que croisés (écharpés) lors de leur carrières respectives.
Un petit document très bien fait à usage d’enseignants pour comprendre et expliquer le réchauffement climatique: ICI produit pas l’OCE  (cf notre article sur l’OCE)

 

Le bonheur n’est plus dans les biens mais dans les liens

« Je pense que ça aide d’avoir des enfants et de se dire ‘dans quel monde de merde ils vont vivre ! ‘ C’est une angoisse. La question, c’est comment je transforme l’angoisse en espérance »
C’est typiquement le genre de question que je me pose et qui a motivé la création de ce blog personnel.
L’interview de François Ruffin sur France inter le 6 novembre est très intéressant et vient en complément d’autres interventions  (ici )  citées sur ce blog.
A l’écoute        En vidéo

 

Usbeck & Rica

Usbeck & Rica est un magazine qui tente parfois des choses discutables pour alerter sur le monde de demain: Lire ici

« …Quand tout change aussi vite, le réflexe des individus et des sociétés est d’avoir peur. De paniquer. De faire les mauvais choix ou de regretter le bon vieux temps. Notre tâche numéro 1 est donc de comprendre ce qui est à l’œuvre, d’analyser les signaux faibles et de tracer des scénarios d’avenir. »

Continuer la lecture de « Usbeck & Rica »

Ecologie, climat : l’effondrement n’est pas inéluctable

Article du Monde du 17/08/19

« …La panique de la collapsologie est tout aussi paralysante que les certitudes des climatosceptiques, affirment six chercheurs qui plaident pour une mobilisation concertée alliant militance citoyenne, décideurs politiques et entreprises.. »
« …Certes, un effondrement est possible; mais, non, il n’est pas certain…Les exemples sont nombreux où des humains, conscients de situations dramatiques, agissent pour rétablir la situation et limiter les conséquences prévisibles de leurs erreurs… »  Lire l’article complet

Le dossier

Paru en 6 épisodes dans le journal Le Monde: Dossier complet

1/6 Il faut immédiatement mettre en oeuvre une nouvelle organisation sociale et culturelle

2/6 Depuis la genèse, on pratique la collapsologie sans le savoir

3/6 L’idée de fin du monde est un remède nécessaire à l’absence de sens

4/6 Le changement climatique n’est pas forcément une mauvaise nouvelle

5/6 La vie sauvage n’a pas dit son dernier mot !

6/6 Vivre mieux consiste aujourd’hui à échapper aux développements du progrès

La collapsologie en une de Libération

Une journée après avoir créé ce site et le jour même où je parle à une amie du concept de collapsologie, le journal Libération décide de faire sa une sur cette thématique: voir le dossier complet ICI
Nul doute que les choses positives (informer, agir) s’accélèrent presque aussi vite que les choses négatives apparaissent : crises sociales, migratoires, sanitaires, politiques, climatiques

Aurélien Barrau

Aurélien Barrau est d’abord un scientifique dont j’ignorai l’existence jusqu’à que ma nièce m’en parle.

Quitte à choisir quelqu’un.e qui « perd ses repères » (du point de vue des sceptiques en tous genres)  ou qui est traité « d’huluberlu alarmiste », je préfère m’intéresser à ces scientifiques qui « auraient pété les plombs » qu’à des politiques qui peuvent encore plus rapidement être décrédibilisés, car on sous-entend à souhait qu’ils ont souvent de mauvaises raisons pour agir ainsi, ou bien que leur « conversion » est bien trop tardive pour être prise au sérieux.
Continuer la lecture de « Aurélien Barrau »

Vivre avec la fin du monde

“la clé c’est de ne pas traverser les tempêtes tout seul” 
Pablo Servigne

Vivre avec la fin du monde: C’était le titre d’un dossier consacré à cette thématique par le journal Le Monde en juillet 2019 (voir ici).
Lire aussi cet article « Le succès inattendu des théories de l’effondrement » paru dans le même journal en février 2019.

Un dossier de LCI : La fin d’un monde

Pourquoi ce blog, version mars 2021!

Pourquoi ce blog? (version été 2019)