J’aime bien faire le parallèle entre les mauvais chemins suivis ces dernières années par les pays industrialisés, en dépit des alertes nombreuses au sujet des périls climatiques, écologiques et économiques et les turpitudes et le déclin de l’église catholique qui n’a pas su se réformer et a fermé les yeux sur bien trop de problèmes en son sein, tout en s’occupant de ce qui ne la regardait pas.
Les deux articles qui suivent sont vraiment éclairants sur ces points.
« …La question qui est sur la table est celle du sacerdoce de tous les laïcs, hommes et femmes, mariés ou célibataires selon leur choix. Une seule chose est sûre : la révolution sera globale ou elle ne sera pas, et elle passe par une refondation complète du régime du pouvoir dans l’institution… »
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« …Le catholicisme risque de disparaître, et l’auteure ne s’y résout pas, parce qu’elle tient à sa dimension d’universalité et d’hospitalité, à son engagement caritatif, à « sa préférence pour les faibles et les pauvres » . « Décléricaliser » le clergé est un impératif de survie. « La première chose à faire est de rendre la vie des prêtres à la norme humaine ordinaire. » Diversifier les origines, accepter des vocations temporaires, ouvrir les sacerdoces aux femmes, considérer le célibat non comme une obligation mais un choix, doivent suivre… »
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