Eglise, écologie même révolution à mener?

J’aime bien faire le parallèle entre les mauvais chemins suivis ces dernières années par les pays industrialisés, en dépit des alertes nombreuses au sujet des périls climatiques, écologiques et économiques et les turpitudes et le déclin de l’église catholique qui n’a pas su se réformer et a fermé les yeux sur bien trop de problèmes en son sein, tout en s’occupant de ce qui ne la regardait pas.
Les deux articles qui suivent sont vraiment éclairants sur ces points.

« …La question qui est sur la table est celle du sacerdoce de tous les laïcs, hommes et femmes, mariés ou célibataires selon leur choix. Une seule chose est sûre : la révolution sera globale ou elle ne sera pas, et elle passe par une refondation complète du régime du pouvoir dans l’institution… »
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« …Le catholicisme risque de disparaître, et l’auteure ne s’y résout pas, parce qu’elle tient à sa dimension d’universalité et d’hospitalité, à son engagement caritatif, à « sa préférence pour les faibles et les pauvres » . « Décléricaliser » le clergé est un impératif de survie. « La première chose à faire est de rendre la vie des prêtres à la norme humaine ordinaire. » Diversifier les origines, accepter des vocations temporaires, ouvrir les sacerdoces aux femmes, considérer le célibat non comme une obligation mais un choix, doivent suivre… »
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Et si on coexistait? La révolution des cœurs…

Parfois au cours de mes « vagabondages » je fais des découvertes intéressantes et stimulantes.
Le fait religieux m’a toujours intéressé car depuis mes expériences de vie et les enseignements que j’ai suivis, le milieu dans lequel j’ai baigné (cf cette page)  et l’actualité du monde et des diverses communautés de pensée religieuse, j’en ai toujours conclu depuis mon plus jeune âge, que c’était d’abord et surtout une source de conflits plus ou moins sanglants et aucunement une source de « mieux vivre ensemble ».
Et puis tout à fait par hasard, je suis tombé sur le film ci-dessous, qui décrit les actions de l’association « coexister ».
L’avenir de notre monde, passera en priorité par la jeunesse qui se mobilise déjà et va se mobiliser pour qu’il change, et que rien ne soit inéluctable. Et ce dans divers domaines, comme le dialogue inter religions et non croyants comme décrit dans cet article. Continuer la lecture de « Et si on coexistait? La révolution des cœurs… »

Accepter le changement: Des blocages à tous les échelons

« …De fait, les études montrent régulièrement que les Français sont globalement satisfaits et optimistes sur leur vie personnelle, mais qu’ils sont pessimistes voire inquiets quant à l’avenir du « modèle français » (pouvoir d’achat, chômage, retraite). Dans un climat de crise économique durable et de profondes mutations – numérique, écologique -, le changement fait peur… »
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Climat, que faut-il faire de plus pour agir?

Paru dans Libération le 10/09/2018

« Témoins tout au long de leurs vies des atteintes à la nature, la primatologue Jane Goodall et le sociologue Edgar Morin expliquent, après la démission de Nicolas Hulot, pourquoi il est urgent de s’opposer aux forces économiques et politiques qui mettent en péril l’avenir de la planète. »

« Edgar Morin : Comme dit Jane Goodall, c’est une tragédie, qui révèle qu’il y a deux univers mentaux, psychologiques, intellectuels qui sont incapables de se comprendre l’un l’autre. D’abord l’univers techno-économique, celui de nos dirigeants, qui domine notre société et ne voit le monde qu’à travers des chiffres, qui ne voit que croissance, rentabilité, compétitivité, PIB… L’autre univers, lui, voit la tragédie humaine de la planète qui se dégrade, la nécessité de changer totalement de voie, d’abandonner ce pseudo-scientifique libéralisme économique…Nicolas Hulot a fait une petite erreur en disant que la clé, c’est de réconcilier l’écologie et l’économie. Non, le vrai problème, c’est que cette économie-là est irréconciliable avec l’écologie.

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